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Réforme des labos: une analyse urgente dans 45' d'embouteillages,la mort au bout du tube?
 |  Auteur: admin
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La réforme de la biologie engendre des laboratoires vides reliés à des usines à analyses via des livreurs de pizza-tubes,  et la lecture des statistiques TOM TOM  fait froid dans le dos et donne une idée des accidents ( ne vous inquiétez pas on fera des fiches de non conformité en 3 exemplaires pour se couvrir) qui vont arriver...

 

le figaro 05.11.2013

 

INFOGRAPHIE - Paris arrive en deuxième position de ce classement des 10 villes où le trafic est le plus dense, réalisé par TomTom.

Marseille reste la ville la plus embouteillée de France. Tel est le résultat du classement réalisé par TomTom qui fournit un baromètre précis de la congestion automobile par le biais de ses données analysées. Ce résultat couvre la période du 1er avril au 30 juin dernier et il s'agit d'une étude à mi-parcours avant des résultats annuels livrés en avril prochain. Depuis deux ans déjà, et selon le classement de TomTom, Marseille est l'agglomération la plus congestionnée de France.

Concernant la Cité phocéenne, l'entreprise livre un indice de congestion moyen de 40 %. Un taux qui monte à 74 % à l'heure de pointe du matin et à 81 % à celle du soir. Concrètement, cela signifie «qu'un automobiliste marseillais dont le trajet domicile/bureau serait de 30 minutes à l'heure où le trafic est le plus fluide perd en moyenne 46 minutes par jour s'il effectue ce même trajet aller et retour aux heures de pointe», indique TomTom en précisant toutefois: «Point encourageant: le temps moyen perdu a diminué de 3 minutes par rapport à la même période en 2012.»

La situation se dégrade à Paris

Paris arrive en deuxième position du classement, avec un taux de congestion moyen de 36 %. «Un automobiliste de la région parisienne dont le temps de trajet domicile/bureau serait de 30 minutes en conditions de circulation fluide perd en moyenne 44 minutes par jour s'il effectue ce même trajet aller et retour aux heures de pointe», précise encore TomTom. Cette fois, la situation s'est dégradée puisqu'il s'agit d'une augmentation de 4 minutes par rapport à l'année dernière, où Paris déjà occupait la même position.

Lyon se situe en 3e position du classement avec un taux de congestion de 31 %. «Sur un trajet de 30 minutes en conditions de circulation optimales, un conducteur perd en moyenne 39 minutes par jour lorsqu'il effectue ce trajet aller-retour aux heures de pointe du matin et du soir et comme à Paris, la situation s'est détériorée puisque ce temps a augmenté de 3 minutes par rapport à l'an dernier», commentent les auteurs de l'étude.

Suivent ensuite Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Strasbourg et Nantes. Lille arrive en queue de classement des dix agglomérations françaises: l'automobiliste lillois n'a perdu «que» 31 minutes par jour dans les embouteillages aux heures de pointe sur le dernier trimestre. 

Par ailleurs, TomTom, qui est en mesure de donner les périodes de trafic les plus denses, a analysé l'état de congestion des routes au cours de ce deuxième trimestre 2013. «Sans surprise, les plus grosses journées d'embouteillages se situent pendant le mois de mai autour des longs week-ends printaniers ainsi qu'à la fin du mois de juin pour les premiers départs en vacances», y souligne-t-on.

 
  • NFOGRAPHIE - Paris arrive en deuxième position de ce classement des 10 villes où le trafic est le plus dense, réalisé par TomTom.

    Marseille reste la ville la plus embouteillée de France. Tel est le résultat du classement réalisé par TomTom qui fournit un baromètre précis de la congestion automobile par le biais de ses données analysées. Ce résultat couvre la période du 1er avril au 30 juin dernier et il s'agit d'une étude à mi-parcours avant des résultats annuels livrés en avril prochain. Depuis deux ans déjà, et selon le classement de TomTom, Marseille est l'agglomération la plus congestionnée de France.

    Concernant la Cité phocéenne, l'entreprise livre un indice de congestion moyen de 40 %. Un taux qui monte à 74 % à l'heure de pointe du matin et à 81 % à celle du soir. Concrètement, cela signifie «qu'un automobiliste marseillais dont le trajet domicile/bureau serait de 30 minutes à l'heure où le trafic est le plus fluide perd en moyenne 46 minutes par jour s'il effectue ce même trajet aller et retour aux heures de pointe», indique TomTom en précisant toutefois: «Point encourageant: le temps moyen perdu a diminué de 3 minutes par rapport à la même période en 2012.»

    La situation se dégrade à Paris

    Paris arrive en deuxième position du classement, avec un taux de congestion moyen de 36 %. «Un automobiliste de la région parisienne dont le temps de trajet domicile/bureau serait de 30 minutes en conditions de circulation fluide perd en moyenne 44 minutes par jour s'il effectue ce même trajet aller et retour aux heures de pointe», précise encore TomTom. Cette fois, la situation s'est dégradée puisqu'il s'agit d'une augmentation de 4 minutes par rapport à l'année dernière, où Paris déjà occupait la même position.

    Lyon se situe en 3e position du classement avec un taux de congestion de 31 %. «Sur un trajet de 30 minutes en conditions de circulation optimales, un conducteur perd en moyenne 39 minutes par jour lorsqu'il effectue ce trajet aller-retour aux heures de pointe du matin et du soir et comme à Paris, la situation s'est détériorée puisque ce temps a augmenté de 3 minutes par rapport à l'an dernier», commentent les auteurs de l'étude.

    Suivent ensuite Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Strasbourg et Nantes. Lille arrive en queue de classement des dix agglomérations françaises: l'automobiliste lillois n'a perdu «que» 31 minutes par jour dans les embouteillages aux heures de pointe sur le dernier trimestre. 

    Par ailleurs, TomTom, qui est en mesure de donner les périodes de trafic les plus denses, a analysé l'état de congestion des routes au cours de ce deuxième trimestre 2013. «Sans surprise, les plus grosses journées d'embouteillages se situent pendant le mois de mai autour des longs week-ends printaniers ainsi qu'à la fin du mois de juin pour les premiers départs en vacances», y souligne-t-on.

    carte de france des embouteillages
     


Posté le:Jeudi 07 novembre 2013 @ 05:59:31       Page Spéciale pour impression Envoyer cet Article à un ami     Précédent |  Suivant
Anonyme
757  

  Posté : 08-11-2013 09:21

Les jeunes biologistes se mobilisent pour la survie de leur spécialité
article paru dans le quotidien du médecin 07/11/2013
Le Syndicat des jeunes biologistes médicaux (SJBM) s’alarme de la désaffection croissante des étudiants en médecine pour leur spécialité. La filière a singulièrement perdu de son attractivité ces dernières années, jugent-ils.

En 2008, le dernier des 40 postes d’internat dans cette spécialité offerts aux candidats des épreuves classantes nationales avait été pourvu après le choix du 2 895e candidat classé. Cette année, l’ultime poste pourvu (sur 97) s’est situé au 7 490e rang...

Selon les jeunes biologistes, la réforme de la biologie médicale « qui prônait une médicalisation » de la discipline a « eu l’effet inverse » : « la concentration et la financiarisation des laboratoires, pour ne pas dire l’industrialisation de la profession ont littéralement fait fuir les jeunes médecins, qui désertent à présent la spécialité ».

Un point a particulièrement causé du tort à la discipline, affirme le SJBM : les nouvelles modalités de nominations de praticiens non issus du DES de biologie médicale à des postes de biologistes médicaux hospitalo-universitaires. « Un signal fort a été envoyé par l’État : la biologie médicale est la seule spécialité médicale pour laquelle le DES restera non qualifiant, déplore le syndicat. Potentiellement, toutes les spécialités médicales peuvent ainsi prétendre, sans avoir à décrocher le DES, à devenir biologiste médical ».

Panel de propositions
Au lendemain de la prise de fonction des nouveaux internes de biologie médicale, le SJBM, qui s’est appuyé sur un sondage auprès de ses adhérents, formule plusieurs propositions pour redorer le blason de la spécialité. Les jeunes biologistes demandent le maintien de la qualification du DES de biologie médicale avec des « dérogations exceptionnelles visées par une commission paritaire ».

Ils préconisent que les nominations hospitalières en biologie médicale soient en adéquation avec les débouchés ouverts dans le secteur public. Le SJBM réclame l’arrêt des baisses de nomenclature, l’instauration de mesures fiscales favorisant la transmission du capital des laboratoires aux jeunes biologistes ou encore l’adaptation de la norme d’accréditation ISO 15189 des laboratoires rendue obligatoire avant le 30 octobre 2016.

« Il y a urgence pour l’avenir de notre spécialité, met en garde le SJBM. Le désintérêt croissant pour celle-ci sonne comme un aveu d’échec pour une réforme dont l’ambition était de garantir une biologie médicale de qualité sur l’ensemble du territoire français. »
CQFD

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